Une vie de chien...

Avec théo nous rédigeons le rapport que nous soumettrons à l'IFB dans quelques jours. Ce qui nous oblige à travailler jusqu'à minuit une heure du matin depuis le début de la semaine. Hier soir, je ferme la porte de mon bureau vers minuit puis je rentre à pied jusqu'à chez moi. Pas plus de 10 minutes sont nécessaires. En descendant la rue principale de la soledad qui débouche sur la plaza de armas, j'entends un chien crier. Comme s'il souffrait. Je m'approche puis je vois un homme complètement éméché à quatre patte sur le sol le pantalon au milieu des genoux qui essayait d'introduire son organe dans le petit cul du cleps.....